BRELOT Elodie
Le premier atout du CEI, c'est son implantation, son positionnement sur le campus de la Doua, en lien direct avec le monde de la recherche et ouvert sur la métropole. Son deuxième, c'est qu’en 35 ans, nous avons occupé l'ensemble des trois ailes et les trois étages du CEI 1 en fonction de notre croissance et de nos besoins d'espace. Enfin, il y a des services mutualisés, un espace très agréable à vivre.
Le Graie est un Pôle Eau & Territoires qui, depuis 40 ans, rassemble 300 collectivités, entreprises et organismes de recherche pour faire évoluer les connaissances et les pratiques dans les domaines de la gestion de l’eau autour de 3 thématiques phares : Eau et Santé / Eau dans la ville / Milieux aquatiques.
Retranscription
En quelques mots, quelle est l’activité du GRAIE ?
Le GRAIE, c'est une association loi 1901 qui a été créée il y a tout juste 40 ans pour faire le lien entre l'eau et la ville, entre les scientifiques et les praticiens.
L'objectif est de développer des programmes de recherche pluridisciplinaire sur ces thématiques, d'animer des groupes de travail techniques avec des agents des collectivités, des bureaux d'études, des partenaires institutionnels, et sur la base de cette connaissance produite scientifique et pratique, de formuler des connaissances, diffuser les connaissances. Et aujourd'hui, c'est aussi d'accompagner les acteurs opérationnels à l'appropriation de ces connaissances.
Vous êtes implanté au CEI depuis 1990. Quelles ont été les raisons de cette implantation ?
En fait, c'était assez naturel de venir s'installer au CEI puisque le GRAIE a été créé notamment à l'initiative de l'INSA de Lyon et que notre objectif était de faire l'interface entre la recherche et le monde opérationnel. Donc on est venu s'installer ici très logiquement.
Quelles sont les perspectives du GRAIE ?
Quand nous sommes arrivés ici, nous étions une et demie. Nous sommes aujourd'hui quatorze salariés au niveau de l'équipe du GRAIE. Nos perspectives sont de développer ces interfaces science / gestion de l'eau. Ce n'est pas forcément un développement énorme en termes de salariés, mais en tout cas un positionnement toujours aussi fort dans l'environnement régional, national et international dans ces domaines.
Comment définiriez-vous les atouts du CEI ?
Alors déjà, c'est son implantation, son positionnement sur le campus de la Doua, et donc en lien direct avec le monde de la recherche et ouvert sur la métropole.
Le deuxième atout, c'est qu’en 35 ans, on a occupé l'ensemble des trois ailes et les trois étages du CEI 1 en fonction de notre croissance, en fonction de besoins d'espace dans ces locaux.
Enfin, il y a des services mutualisés, un espace très agréable à vivre.









