RECORD témoigne

COUFFIGNAL Bénédicte
RECORD
Le premier atout qui me vient à l'esprit, c'est sa localisation. Le fait d'être situé au sein d'un des plus grands campus scientifiques de France. Ensuite, on apprécie beaucoup sa desserte : gares, métros, tramways, tout en étant situé dans un milieu assez naturel avec un campus très arboré. Pour des structures de taille réduite comme la nôtre, l'accès à certains services est important, comme par exemple la location de salles de réunion, les services de courrier, etc.

L’association RECORD – réseau coopératif de recherche sur les déchets et l’environnement – est le fruit d’une triple coopération entre industriels, pouvoirs publics et chercheurs. Elle finance et réalise des études et recherches dans le domaine de l’économie circulaire, des déchets et des pollutions industrielles.

Retranscription

En quelques mots, quelle est l’activité de RECORD ?

RECORD est un centre d'expertise national sur l'environnement. On finance des projets scientifiques et techniques qui sont réalisés soit par les laboratoires, soit par des bureaux d'études.

En tant qu'association, nos membres sont à la fois les instances publiques en charge de l'environnement comme l'ADEME, le ministère de l'Écologie et le ministère de l'Économie, et de grandes entreprises françaises dont on peut voir les logos ici derrière.

Vous êtes implanté au CEI. Quelles ont été les raisons de cette implantation ?

L'Association a été créée il y a plus de 30 ans à la demande du ministère de l'Environnement par des chercheurs de l'INSA Lyon. D'où notre implantation sur le campus de la Doua, et plus précisément au CEI.

Quelles sont les perspectives de RECORD ?

La pression sur l'environnement ne fait que croître d'année en année. D'où l'importance de continuer à développer nos travaux et on souhaite le faire sur deux axes. Le premier concerne le recyclage de nos déchets, notamment des déchets comme les batteries, les téléphones portables qui contiennent beaucoup de métaux stratégiques. Un autre axe qui nous tient à cœur, c'est les problématiques de pollution par les microplastiques. On travaille actuellement avec un laboratoire de l'INSA Lyon, DEEP, qui travaille avec nous sur ce sujet.

Comment définiriez-vous les atouts du CEI ?

Le premier qui me vient à l'esprit, c'est sa localisation. Le fait d'être situé au sein d'un des plus grands campus scientifiques de France.
Ensuite, on apprécie beaucoup sa desserte. Le fait qu'on soit très bien desservi par les gares, les métros, les tramways, tout en étant situé dans un milieu assez naturel puisqu'on est au sein d'un campus qui est très arboré.
Pour des structures de taille réduite comme la nôtre, l'accès à certains services est important, comme par exemple la location de salles de réunion, les services de courrier, etc.

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